Description
PROPRIÉTÉS TRADITIONNELLEMENT RECONNUES DES PRINCIPAUX COMPOSANTS
• EXTRAIT DE CASSIS Les feuilles de cassis sont traditionnellement utilisées pour augmenter le volume des urines et donc favoriser l’élimination de l’eau et des déchets. On les utilise également pour traiter les manifestations de l’insuffisance veineuse et de la fragilité des capillaires. Chez l’animal, les feuilles ont montré une certaine activité anti-inflammatoire, diurétique et hypotensive. En 2010, l’Agence Européenne du Médicament a reconnu l’usage traditionnel des feuilles de cassis pour augmenter la quantité d’urines. La feuille de cassis contient des flavonoïdes, dont des polyphénols à action diurétique.Une étude a souligné l’activité salidiurétique des feuilles de cassis en évaluant l’élimination urinaire du sodium et du potassium, les résultats montrant que le sodium et le potassium sont éliminés dans les mêmes proportions qu’avec le furosémide mais en quantité deux fois plus faibles pour une même activité diurétique.Les flavonoïdes et les anthocyanes de la feuilles de cassis ont un rôle de protection des parois vasculaires : les flavonoïdes possèdent des propriétés anti-oxydantes et les anthocyanidines une activité dite vitaminique P (diminution de la perméabilité et augmentation de la résistance capillaire). Ces molécules présentent également une activité hémodynamique : un pouvoir antithrombogène pour les flavonoïdes, les anthocyanidines ayant la capacité d’améliorer le flux érythrocytaire en diminuant l’agrégation érythrocytaire et la viscosité plasmatique.
• EXTRAIT DE KINKELIBA Combretum micranthum ou le kinkéliba est un arbuste touffu de 2 à 5 m de haut, typique de la savane africaine. Il est reconnu pour son action diurétique, pharmacologiquement prouvée. L’action diurétique du Combretum micranthum est justifiée par la teneur en nitrate de potassium, mais également en divers flavonoïdes ; l’intervention de ces derniers est envisagée au niveau des corpuscules de Malpighi, composant le néphron, l’unité structurale et fonctionnelle du rein.Le Combretum micranthum est traditionnellement utilisé pour favoriser la production de bile par le foie et faciliter la digestion. Le Combretum micranthum contient des flavonoïdes, des tanins catéchiques, des combrétines, des acides aminés quaternaires et des acides alcools qui semblent responsables des propriétés cholagogues et cholérétiques de la plante.
• EXTRAIT DE SURAUE phytothérapie, on utilise le sureau noir pour ses fleurs séchées et la partie interne de l’écorce. Les fleurs et l’écorce de sureau noir contiennent des mucilages (des substances qui calment l’inflammation), des tanins, des flavonoïdes, ainsi que du nitrate de potassium et des acides phénoliques qui seraient responsables de leur action diurétique.En Italie, en Belgique, en France, en Allemagne et en Angleterre, on lui reconnaît des vertus diurétiques, diaphorétiques (qui provoque la sudation) et anti-inflammatoires. En 1999, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) reconnaissait l’usage traditionnel des fleurs de sureau comme diaphorétique (qui provoque la sudation) et expectorant. Ces deux organismes rapportaient que des essais in vitro et sur des animaux permettaient d’établir que les fleurs avaient une action anti-inflammatoire, diurétique et sudorifique.
• EXTRAIT DE PISSENLIT Connu dans la médecine populaire pour faciliter la digestion, le pissenlit est traditionnellement utilisé comme cholérétique (active la production de la bile) ou cholagogue (active l’écoulement de la bile dans la vésicule) ainsi que pour ses propriétés diurétiques en favorisant l’élimination rénale de l’eau. La Commission Européenne reconnaît l’usage de la feuille de pissenlit pour traiter certains troubles digestifs mineurs et pour améliorer les fonctions biliaires et urinaires.
• EXTRAIT DE MÉLILOT La lysine est un acide aminé essentiel. Elle contribue, entre autres, à la croissance des os, à la formation du collagène et des anticorps, ainsi qu’au métabolisme des glucides.
• VALINE Les fleurs du mélilot sont proposées pour leurs propriétés anti-inflammatoires, pour traiter l’insuffisance veineuse (jambes lourdes et douloureuses, varices, hémorroïdes) et pour stimuler la circulation de la lymphe lors d’œdèmes (gonflements). Le mélilot contient des substances de la famille des coumarines (capables d’inhiber la coagulation sanguine), en particulier le mélilotoside. Ces substances sont responsables de son action contre les œdèmes. Il contient également des flavonoïdes qui seraient à l’origine de ses effets protecteurs sur les vaisseaux sanguins.L’Agence européenne du médicament reconnaît l’usage traditionnel du mélilot « pour soulager l’inconfort lié aux manifestations de l’insuffisance veineuse (jambes lourdes).La Coopération scientifique européenne en phytothérapie (l’ESCOP) reconnaît l’usage du mélilot dans le traitement « des symptômes de l’insuffisance veineuse et des varices ».Différents mécanismes d’action peuvent être impliqués dans son activité :- une action lymphocinétique démontrée sur le flux du canal thoracique de sujets volontaires – une augmentation du drainage du fluide lymphatique par un effet de stimulation directe des vaisseaux lymphatiques – une stimulation des macrophages, qui augmente leur activité de phagocytose et de protéolyse- une amélioration de la qualité et de la rapidité du retour veineux- une action protectrice des capillaires.
• LES FLAVONOÏDES DE CITRUS Les flavonoïdes présents dans la plupart des plantes, sont des pigments qui contribuent entre autre, à colorer les fleurs ou les fruits en jaune ou en blanc. Ils sont traditionnellement employés pour leur action antioxydante, c’est-a-dire qu’ils protègent les membranes cellulaires contre les dommages causés par les radicaux libres. Des expériences menées sur des animaux ont démontré que l’ériocitrine et l’hespérédine, extrait de l’écorce de citron ou de son jus, pouvaient diminuer ou prévenir l’augmentation des dommages reliés au stress-oxydatif. Plusieurs études épidémiologiques ont démontré qu’un apport régulier en flavonoïdes provenant d’agrumes est associé à une diminution du risque de maladies cardiovasculaires. Les flavonoïdes contribueraient à améliorer la vasodilatation coronarienne, à diminuer l’agrégation des plaquettes sanguines et à prévenir l’oxydation du « mauvais » cholestérol. De nombreuses études cliniques en double aveugle réalisées sur plus de 100 personnes montrent que les bioflavonoïdes de citron ont une action contre les hémorroïdes en diminuant leur durée et fréquence. D’autres études montrent qu’ils agissent contre les troubles de l’insuffisance veineuse chronique surtout pour les personnes dont les jambes sont très faibles. Ils agissent aussi pour limiter les saignements de nez et les hématomes. Enfin, les bioflavonoïdes ont aussi une légère action pour traiter les lymphoedèmes. Les flavonoïdes participent à renforcer l’élasticité, l’étanchéité des vaisseaux sanguins (ils préviennent l’infiltration dans les tissus voisins) et donc, leur résistance.
• BROMÉLAÏNE L’ananas est naturellement riche en bromélaïne, enzyme protéolytique. Autrement dit, elle digère les protéines par hydrolyse, c’est-à-dire qu’elle scinde les protéines en molécules plus petites et les rend inactives. C’est par cette méthode, que la bromélaïne détruit certaines protéines néfastes pour la santé. D’après plusieurs observations cliniques, la bromélaïne possède une action bénéfique sur la santé cardiovasculaire et circulatoire. Elle pourrait notamment prévenir l’agrégation plaquettaire. De plus, des études ont montré que la bromélaïne pourrait avoir un rôle dans l’activation de la réponse immunitaire. Elle permettrait de renforcer le système immunitaire en stimulant la production de cytokines.La Commission Européenne a approuvé l’usage de la bromélaïne pour traiter l’œdème postopératoire et post-traumatique, particulièrement des sinus nasaux et para-nasaux.La bromélaïne est traditionnellement reconnue pour ses actions anti-inflammatoires qui permettent de diminuer les œdèmes et faciliter l’élimination des dégradations cellulaires.
• EXTRAIT DE GALIUM APARINE On la connaît aussi sous les noms de «rièble», «grateron», «gratte-langue», «gaille». Les parties utilisées sont les parties aériennes (plante et fleurs).Le gaillet grateron est composé de glucosides (aspéruloside), oligo-éléments (manganèse), d’alcaloïdes et d’iridoïdes.Cette plante est traditionnellement reconnue comme diurétique. Elle stimulerait aussi la circulation lymphatique et serait dépurative. La médecine chinoise l’attribue au foie, à la vésicule biliaire et à la vessie.• EXTRAIT DE GATTILIERLes vertus médicinales de la baie de gattilier sont connues depuis plus de 2 000 ans. Dans les années 1990, des études cliniques sans placebo ont conclu à l’efficacité et à l’innocuité du gattilier pour soulager les symptômes du syndrome prémenstruel. La Commission E et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) reconnaissent l’usage du gattilier pour traiter les irrégularités du cycle menstruel, pour soulager le syndrome prémenstruel et la mastalgie (douleur des seins).L’activité du Gattilier serait due à un groupe de substances de structure :labdanes diterpènes (rotundifurane) ayant de fortes analogies structurales avec les stéroïdes. Ces actifs par leurs structures pourraient se fixer sur les récepteurs stéroïdiens, et par ce biais exercer un effet sur différentes hormones.
• POTASSIUM Troisième minéral présent dans l’organisme après le calcium et le phosphore. Dans l’organisme, le potassium agit en étroite collaboration avec le sodium pour maintenir l’équilibre acido-basique du corps et celui des fluides. Il contrôle le taux de fluides et le pH à l’intérieur des cellules, tandis que le sodium fait la même chose à l’extérieur des cellules. Il est essentiel à la transmission nerveuse ainsi qu’à la contraction musculaire, y compris celle du muscle cardiaque. Il participe au bon fonctionnement des reins et des glandes surrénales. Il contribue également à de nombreuses réactions enzymatiques, à la synthèse des protéines et au métabolisme des glucides.
• CALCIUM On connaît surtout le calcium pour son rôle dans la construction osseuse, pourtant, ce n’est qu’une de ses propriétés. Le calcium intervient également dans la contraction du muscle cardiaque ou encore dans la régulation du poids corporel. Voici quelques-uns des rôles du calcium :- Croissance et entretien des os et des dents.- Rôle modérateur du calcium libre dans l’excitabilité neuromusculaire.- Le calcium libre intervient dans la coagulation du sang.- Régulation du rythme cardiaque et participation au bon fonctionnement du système nerveux.- Aide à l’assimilation de la vitamine B12 et participe au métabolisme de certaines vitamines et du fer.- Le calcium intervient dans de nombreuses réactions enzymatiques ;certaines enzymes digestives comme la lipase, doivent se fixer au calcium pour assurer leur action catabolique.
• VITAMINE B1 La vitamine B1 (ou thiamine) est très peu stockée dans l’organisme, elle est absorbée au niveau de l’intestin grêle (jéjunum) en très faible quantité, et cela même en cas de forte quantité dans l’intestin. Pour ces 2 raisons, elle doit être consommée chaque jour. La vitamine B1 est impliquée, en tant que co-enzyme, dans le métabolisme et l’assimilation des glucides, lipides et protéines apportés par les aliments consommés. Elle intervient dans la transmission de l’influx nerveux (influence sur la perméabilité membranaire à l’ion sodium).La vitamine B1 contribue aussi à une fonction cardiaque normale.
• VITAMINE B6 La vitamine B6, joue un rôle de cofacteur dans un grand nombre de processus reliés au métabolisme des acides aminés et des protéines. Elle joue un rôle crucial dans la synthèse de certains anticorps, de l’hémoglobine, et de certains neurotransmetteurs comme la sérotonine (neuromédiateur qui régule l’humeur, le comportement alimentaire, et prépare au sommeil) et la mélatonine (hormone du sommeil). Elle joue un rôle à ce titre très important dans le maintien de l’équilibre psychique.La vitamine B6 accroit la pénétration et la fixation cellulaire du magnésium, elle exerce des effets régulateurs sur l’excitabilité neuromusculaire qui complètent et renforcent celles du magnésium. Elle joue donc un rôle complémentaire du magnésium. La vitamine B6 est une vitamine hydrosoluble dite « essentielle », car l’organisme ne sait pas la fabriquer et ne la stocke pas : le corps doit donc la puiser chaque jour dans les aliments. Elle est absorbée au niveau de l’intestin grêle.
CONSEILS D’UTILISATION Prendre 3 gélules par jour en une seule prise, de préférence le matin, avec un verre d’eau.PRÉCAUTIONS D’EMPLOISe conformer aux conseils d’utilisation. Tenir hors de portée des jeunes enfants. À utiliser dans le cadre d’une alimentation équilibrée et d’un mode de vie sain. Boire abondamment (1.5 L d’eau/jour). Conserver au sec, à l’abri de la lumière et de la chaleur. Déconseillé chez les femmes ayant des antécédents personnels ou familiaux de cancer du sein.
Apport pour 3 gélulesBioflavonoïdes de Citrus300 mgCalcium (15% AR*)120 mgPotassium (4% AR*)80 mgExtrait de CassisEq plantes107.5 mg430 mgExtrait de Galium AparineEq plantes100 mg400 mgExtrait de Kinkeliba Eq plantes60 mg240 mg Extrait de sureauEq plantes56.25 mg225 mgExtrait de GattilierEq plantes50 mg200 mgExtrait de mélilotEq plantes50 mg225 mg Extrait de PissenlitEq plantes37.5 mg150 mg Bromélaïne (0.4 GDU)5 mg Vitamine B6(15% AR*)0.210 mg Vitamine B1(15% AR*)0.165 mgISO 22 000ISO 9 001CERTIFICATIONSSANTE+ PRODUIT • Perte d’eau• Silhouette affinée• Tissus désengorgés
Ce produit n’est pas un médicament mais un complément alimentaire à base d’extraits de plantes, de vitamines et minéraux. Fiche technique – Document strictement réservé à la force commerciale. Tous droits réservés. Toute reproduction est interdite.
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